jeudi 22 février 2018

CONSEIL MUNICIPAL DU 21 FEVRIER: UNE FOIS DE PLUS CA URGE POUR LES PRETS

 
 
Mise au point préalable: quelle que soit l'efficience de l'action de l'opposition municipale, il est des fois où la meilleure volonté du monde est tributaire des aléas de l'existence, n'en déplaise à la conseillère qui a voulu faire cette observation décalée, quand certains des nôtres perdent pour l'un sa mère et pour l'autre un ami cher, la priorité c'est de se rendre aux obsèques toutes affaires cessantes et d'accomplir son devoir "d'Homme", surtout si c'est pour entendre toujours les mêmes "bévues" de la part d'une majorité qui semble borgne, et se terre dans le déni derrière son "GOUROU", elle n'a pas besoin de l'opposition pour cela, elle s'y entend parfaitement.


En préambule Mme CAPELLE a fait observer que le compte rendu de la séance du conseil du 13 février dernier ne relatait en aucune manière la nomination de Mr ARQUIE comme nouveau responsable de la BASE DE LOISIRS et comme délégué au CNAS s'y rapportant, et qu'il conviendrait que cela y figure.

Par ailleurs elle a fait observer, et exigé que figure au même compte rendu de la séance dernière, le refus de procéder au vote et de délibérer des membres de l'opposition concernant le prêt relatif à la subvention octroyée en 15 annuités par le conseil départemental dans le cadre de la réfection de la cantine du groupe scolaire du blanc, n'ayant obtenu préalablement au conseil aucun documents relatifs aux conditions de ce prêt, comme il se doit dans n'importe quelle autre municipalité respectueuse de la règlementation, et des droits des membres de son conseil, et de l'opposition.
Monsieur le Maire a immédiatement argué du départ en vacances de Mme la DGS et de la secrétaire, qui explique cet oubli à réparer prochainement, mais nous sommes habitués aux oublis à répétitions de ce qu'il est gênant pour l'édile de faire apparaître dans les délibérations officielles, il semblerait que la "sénescence" soit générale et "MAJORITAIRE", les élus de l'oppositions resteront vigilants sur ce sujet à l'avenir, nous nous souviendrons non sans nostalgie d'une "commissaire du peuple" en d'autres époques, qui était aussi et même plus intransigeante sur ce sujet, allant jusqu'à la retranscription des points et des virgules, il nous apparaît aujourd'hui et dans d'autres conditions qu'elle se soit assouplie sur la question, les piqûres de rappel ne font en tous les cas pas de mal à nos "GRANDS GESTIONNAIRES".

Vous aurez compris que ce prêt a été voté par le conseil le 21 février 2018, même si nous nous devons de préciser ici, qu'une fois de plus qu' il aurait été prudent d'attendre (avant d'engager la commune dans des travaux), l'arrêté définitif d'attribution avec toutes ses conditions notamment cet étalement sur 15 années; ce prêt générant en sus pour la commune et hors prise en charge du conseil départemental, intérêts et frais supplémentaires; encore un bel exemple de "GESTION SAINE"!

Mme CAPELLE a fait observer à ce sujet, que le conseil autorisait l'édile, cette condition étant imposée par les établissements de crédit, selon les dires du maire, de lui donner tous pouvoirs " En tant que de besoin d'avoir recours à l'augmentation des impôts" pour assurer la bonne fin des remboursements à ces mêmes établissements bancaires, sans doute sentent-ils le danger de la situation communale?

Concernant la vente d'un local avenue de la gimone, nous devons préciser à Mr le Maire, qui nous fait le plaisir de nous lire régulièrement "peut être en tire t'il quelques bénéfices", qu'il lui serait profitable pour éviter toute distorsion dans nos propos de vérifier ce qui lui est rapporté indirectement, lors de notre publication concernant le conseil du 13 février nous n'avons en aucune manière confondu le local en cours de vente de l'avenue de gimone qui servira comme nous le comprenons tous à abonder le budget quasi moribond de la commune survivant sous perfusion(S) de crédits à répétition, avec celui des anciens établissements DURAN (amiantés) obtenus pour l'euro symbolique (quelle affaire!) pour stigmatiser s'il en était encore besoin l'excellence du JUGEMENT de l'édile dans les affaires mirobolantes (?) (sans doute avait il oublié le retraitement de l'amiante) qu'il peut réaliser, et il s'y est cassé le nez, puisqu'il essai sans succès pour l'instant de le vendre lui aussi, selon nos sources. AU FINAL L'EURO SYMBOLIQUE COUTERA COMBIEN AU CONTRIBUABLE LOCAL?

FONDS DE CONCOURS DE LA COMMUNAUTE DE COMMUNES, concernant le pôle FERMAT, 50% de l'autofinancement de la commune plafonné à 400.000E débloqués en fin de chantier sur factures acquittées, ce qui sous entend sans le dire qu'en attendant de l'encaisser la commune devra inclure cette même somme (octroyée dans les conditions ci dessus) dans son plan de financement et surtout dans son autofinancement augmentant par la même le montant du prêt final à réaliser par la commune qui en fera l'avance, d'autant que nous savons déjà que l'autofinancement de la commune est égal à quasiment ZERO à peine 8.000E tel qu'approuvé dans le compte administratif de la commune pour l'année 2017, et dégagé fictivement au prix de nombreuses écritures comptables.

LA REALITE COMPTABLE aurait certainement comme nous le savons tous fait apparaître un DEFICIT!!! comment peut on encore oser, sans honte, vouloir financer un pôle FERMAT quand on n'en a pas les moyens ni le premier sou?



CETTE EQUIPE n'est elle pas en train de couler définitivement la commune, laissant la dette et son règlement futur sur le dos de la prochaine municipalité, et des contribuables locaux?

DE QUOI FINIR D'ASSOIR LA SOIF DE GRANDEUR INCONGRU DE CERTAINS!