samedi 19 mai 2018

NOTRE GRAND GESTIONNAIRE LOCAL VIRE TRES DEMOCRATIQUEMENT DE SES FONCTIONS DE TRESORIER DE L'ADOMA

COMME LE DIT LE PRESIDENT "NOUS DEVONS REPARTIR DU BON PIED" Y AVAIT IL UN PROBLEME?

mercredi 9 mai 2018

LE PREFET VA TIRER SA REVERENCE!

Nous apprenons que le Préfet de Tarn et Garonne va tirer sa révérence.
Nous ferons un bref historique sur sa carrière jusqu'à ce jour:

ci après extrait de la dépêche du 17 décembre 2015:

"Pierre Besnard est né à Saint-Brieuc, dans les Côtes d'Armor. Ce haut fonctionnaire est notamment passé dans le cabinet de Daniel Vaillant, alors ministre de l'Intérieur du gouvernement Jospin, a également été secrétaire général de la préfecture de l'Aveyron, de 2008 à 2010.
Après un passage dans le privé, Pierre Besnard a rejoint, en 2011, Jean-Pierre Bel, alors président du Sénat dont il est devenu le chef de cabinet. En 2012, le nouveau préfet du Tarn-et-Garonne a été appelé par François Hollande, en tant que chef de cabinet à l'Élysée. Il devrait prendre ses fonctions tout début janvier."
NUL DOUTE QUE SES NOMBREUX AMIS LOCAUX, ne pleurent son départ, son soutien leur a été précieux, là aussi une page se tourne.
Nous souhaitons à Mr le Préfet une bonne installation dans un autre département ou dans une autre fonction qui l'appelle sous des cieux encore plus cléments!

mardi 1 mai 2018

FINANCEMENT PUBLIC D'UNE ENTREPRISE PRIVEE?

FINANCEMENT PUBLIC QUAND TU NOUS TIENS! entre indirect et occulte, à la marge de la légalité, cela reste pour tout dire dans les habitudes locales!
Il semblerait que la commune de BEAUMONT sous l'égide de son maire et sa joyeuse équipe qui signe et approuve tout sans sourciller, nous ait inventé au niveau local, ce qui peut se passer à des niveaux supérieurs département, région ou état, pour sauver des entreprises et des emplois en péril.

Il est bien certain que compte tenu des finances florissantes de la commune avec 8.500E d'excédent fin 2017, nous avons les moyens de financer des entreprises privées, et à plus forte raison encore la BASE DE LOISIRS qui "SURFE" sur un déficit réel de 209.000E pour 2017, a t'elle les moyens de perdre des recettes?!

NOUS RAPPELONS A CEUX QUI ONT OUBLIE un extrait de notre article du 20 MARS concernant la dette réelle de la commune, en effet les 8.500E d'excédent de fin 2017 ont été obtenus par manipulation comptable et ne représentent qu'une fiction honorable pour une gestion sujette à caution, il s'agit d'une dette réelle de plus de  70.000E:
"Les caisses sont vides avec un déficit réel pour la commune seule de plus de 70.000E, la fiction comptable faisant apparaître un excédent ridicule de 8.500E."


La "vague" qui ne nous a fourni aucun bilan et on comprend bien pourquoi quand on consulte ses données au niveau du Registre du Commerce et des Sociétés, et qui ne sera pas en mesure de nous payer le moindre ECO pour l'année 2018 (même si elle en était exonérée pour 2017,elle n'était pour autant pas exonérée de la fourniture des justificatifs financiers), nous en faisons par avance le pari.
Celle-ci semble bien faire l'objet d'une aide voilée de la mairie: nous nous poserons la question de savoir, quel est donc le DEAL de départ qui peut lier l'EDILE ET SON EQUIPE à cette entreprise encore et toujours en "devenir d'avenir"?

Nous avons appris de source sûre que l'hébergement en gîte à la base de loisirs des responsables de la " VAGUE" pour la saison 2017 soit à peu près sur 5 mois d'activité, s'élevait à 350E par mois, quand on sait que le prix moyen à la semaine dans un gîte en pleine saison est de près de 650E/SEMAINE avec tous les coûts annexe liés (ménage, draps......) soit un chiffre d'affaire par gîte pour un mois de près de 2.600E, soit une perte sèche pour une base en déficit de 2.250E/MOIS, nous avons du mal à le comprendre (soit une perte sèche pour la base sur la saison de près de 11.250E)?

Aussi dans leur grande générosité l'équipe de l'édile et son nouveau responsable de la BASE DE LOISIRS ont ils décidé, d'aligner cette année le tarif plus que préférentiel consenti à la "VAGUE", sur celui pratiqué pour l'hébergement des maîtres nageurs (400E/mois), la différence entre les deux réside dans le fait que ces derniers sont assimilés à du personnel saisonnier de la base de loisirs, qui est une entité, pour ne pas dire si nous raisonnons en terme d'entreprise une" filiale" de la commune.


En compensation de cette situation avantageuse "la VAGUE" se chargera, sur réservation à l'accueil, de gérer les pédalos et autres barques en location (QUID D'UNE RETRIBUTION?), le personnel de la base serait il débordé par une activité sur humaine pour ne pas s'en occuper?


Une autre question se pose, qui est celle de la responsabilité à la fois de la BASE DE LOISIRS et de la "VAGUE", vis à vis des assurances si un accident devait survenir? tout a t'il été prévu à cet effet?
D'après nos informations il semblerait que l'entreprise considérée n'ait fait l'objet jusqu'à ce jour d'aucune commission de SECURITE LIEE A SON EXPLOITATION, est ce normal? cet état de fait a t'il été réparé? s'il devait arriver un accident qui serait responsable? l'entreprise certainement dans le cadre de son activité, mais aussi la commune et son EDILE pour cette négligence sur l'espace public de la base de loisirs.
Tout ceci ne peut il pas s'apparenter à un financement ou un avantage indirect d'une entreprise privée, qui flirte avec l'indécence d'un FINANCEMENT PUBLIC? surtout quand la gestion menée de la commune et de ses entités ne parvient plus, ou très difficilement, à financer tous ses projets et ses besoins financiers.